CONCOURS DU PIRE CRÉTIN: Le vainqueur est…

Les concurrents se pressent en rangs serrés.

Il y a le candidat macroniste à la mairie de Paris qui se conduit comme un garçon de bureau, et couine qu’on «s’en prend à sa famille» (sic) parce que la photo de sa bite atterrit sur les «réseaux sociaux».

Il y a le performeur russe en transit, manipulé ou mal conseillé, ou spontanément assez niais pour penser que ce qui serait «très grave», c’est qu’un homme qui trompe sa femme soit élu maire de Paris. (D’accord il arrive du dix-neuvième siècle, à peine sorti des glaces, mais tout de même!)

Il y a la grande cohorte des crétins de base qui échangent leurs estimations sur la taille et la circonférence de la teub du garçon de bureau.

Et puis il y a les éditorialistes qui affirment sans rire que la sottise du performeur russe ajoutée à l’imprudence du crétin macroniste «mettent en danger la démocratie». (Ben alors, qu’elle crève le plus vite possible, hein!)

Impossibles de les départager.

Tous ex aequo.